À quelque chose, malheur est bon. Bien que notre urticaire mental s’enflamme à chaque fois que l’on parle de pandémie, il reste que nous avons appris d’elle et pas seulement sur le plan de la santé publique. Nos habiletés pédagogiques s’y sont également développées au point où un éventuel retour en présentiel ou un re-retour à distance ne nous effraie plus. Puisque nous n’en sommes plus à nos premières armes, ne pourrions-nous pas en profiter pour nous améliorer?